« Séduire naturellement » n’est pas une simple formation lambda sur la séduction, bien au contraire. Tout au long des différents modules présents, nous trouverons des éléments sur des domaines touchants directement à l’épanouissement personnel de chaque homme (Communication, look…). Le but de ce coaching n’est pas de nous transformer en dragueur en série, mais bien d’ajouter la dimension de « séduisant » à notre panoplie d’homme épanoui.

Un ensemble audiovisuel COMPLET (des heures entières de vidéo de coaching) et un ebook « Séduire Naturellement » d’environ 120 pages pour le simple prix de 49€.

Un contenu aussi important que riche d’informations qui saura ravir tout homme à la recherche des clés et des démarches de progression pour, enfin, devenir séduisant.

Phrase-résumé de la formation

En toute franchise, cette formation ne présente pas de réelle « phrase-résumé » mais bien une page entière décrivant toutes les informations que l’on peut retrouver au sein même de cette dernière. Ainsi, je vous proposerais de lire les quelques premiers mots de cette page de manière à poser le cadre et l’ambition du propos :

« Pourquoi la plupart des hommes n’ont aucune chance avec les femmes et comment vous pourriez, vous aussi enfin flirter sans aucune retenue avec les femmes qui vous plaisent au point qu’elles se sentent intéressantes, admirées, respectées, sexuellement attirantes et désirées en votre présence. »

Ainsi, cette formation n’est pas un simple recueil où vous apprendrez à draguer des femmes rencontrées en soirée, mais bien à devenir un homme séduisant, qui sait être intéressé et intéressant. En bref, vous apprendrez à séduire naturellement.

Un point sur l’auteur

Je me permettrai de ne présenter que le pilier et fondateur de LifeStyle-Conseil : Alexandre.

Ancien geek prononcé et joueur de haut niveau dans le milieu de l’electronic-sport pendant sa période adolescente, son cercle social s’approchait du zéro (hors mis quelques connaissances virtuelles) et son expérience en matière de femme se résumait par le mot « néant ». Il a commencé son épanouissement personnel par une légère perte de poids et par beaucoup de prises d’informations sur différents sujets (psychologie, séduction, mode…).

Ancien pilier et grand nom de la communauté des séducteurs français lorsque cette dernière se démocratisait doucement, il a rapidement animé des conférences avec d’autres grands noms pour enfin monter sa propre entreprise : LifeStyle-Conseil.

Aujourd’hui, il est reconnu par tous (média, communauté…) en tant qu’homme épanoui dans tous les milieux. Coach de vie mais aussi auteur. Ebook Look ou encore Le Kit de l’Homme séduisant sont ses best-seller qui lui ont fait une réelle place de choix au sein de toute la communauté.

Introduction

Dès le début, Alexandre se présente à nous dans une petite vidéo pour nous expliquer deux trois choses à propos de cette formation.

La première est  l’aspect technique ou comment contacter l’équipe en cas de problème avec le site web

La seconde, et celle qui nous intéressera le plus, sera au sujet du déroulement de la formation. Elle se déroule sur quatre mois ; chaque mois, chaque semaine, nous aurons accès à une vidéo supplémentaire des différents modules. De manière à ne pas être enclin à se disperser sur plusieurs sujets à la fois et, de ce fait, ne pas approfondir et peaufiner comme il se doit ces éléments.

Bien évidemment, il ne nous faudra pas attendre un mois avant d’avoir le premier contenu, dès notre entrée dans notre espace membre, nous pouvons directement avoir accès à différents éléments :

• Les guides. pdf de chaque cours du Module 1 (retranscription textuelle des vidéos)
• Séminaire « Savoir vivre »
• Séminaire « Se motiver pour réussir ».

Juste après, Alexandre nous dévoile les différents points que nous aborderons au long de la formation. (Point que je présenterai plus bas dans cette chronique)

Un dernier point, et pas des moindres, un système de commentaire sur chaque vidéo/cours est mis en place, ainsi, il sera possible d’échanger directement avec Alexandre, Vincent ou tout autre membre de manière à créer une sorte d’émulation de groupe. Qu’il s’agisse de questions ou débats, l’idée est de mettre en place une réelle communauté autour de cette formation.

Cette chronique aura pour but de vous présenter les cours présents dans le Module 1 ainsi qu’un bon début du Module 2. Je ferai impasse sur tous les Bonus et les deux derniers modules de manière à vous laisser le plaisir de découvrir chaque point non explicité par la suite.

Module 1

I – Langage corporel

La base de l’échange social, de la séduction. LC nous lance directement sur le point numéro 1, la base de ce séminaire. Le « Body Language », le BL. Bien entendu, les choses sont posées de nouveau de manière claire : 90% de nos messages passent par ce BL.

Un BL fort et interessant aidera à véhiculer n’importe quel message, qu’il soit pertinent ou non. Tandis, qu’à l’inverse, un BL hésitant peut détériorer la qualité des messages que nous avons à faire passer, même si ce dernier est on ne peut plus intéressant. De plus, le BL influe sur l’état d’esprit, et l’état d’esprit sur le BL.

« Mens sana in corpore sano, corpore sano in mens sana. »

Voilà les deux principaux points qui fondent le travail du langage corporel.

Alexandre explique à ses protégés, et par leurs biais, aux élèves online, les différents points dont il faut clairement faire attention :

• Le Corps : Il appuye chaque geste, chaque prise d’initiative. Alexandre nous montre quelques mises en situation sur l’orientation de son corps lors d’un échange ou d’un amorçage de séduction.
• Le Visage : Point souvent oublié par la plupart. En effet, le visage, lorsque bien expressif, offre une certaine dose de charisme. Le regard fuyant, mobile, le manque d’expression. Il faut faire attention à tous ces points. Alexandre nous propose de travailler cette partie devant un mirroir, sans chercher à tout « exagérer ».
• La Voix : Dernier point, mais une fois de plus, très important. Alexandre utilise la métaphore suivante. Le langage corporel est une pyramide, le corps en est la base, le visage arrive légèrement au dessus, et, enfin, la voix en est le sommet. Vous comprendrez qu’un spectateur lambda qui s’approche de vous voit en tout premier lieu votre corps, puis vos expressions du visage et enfin, il entend votre voix. C’est donc un point à travailler, la voix donne de l’énergie, de la consistance à vos récits.

Cependant, on nous soulève un sujet important. Ne pas tomber dans « l’over thinking », le but n’est pas de devenir un robot qui suit les conseils trouvés sur la toile. Chaque personne est différente et a son propre langage corporel. On ne peut se calquer sur quelqu’un d’autre, il faut trouver son identité à ce sujet. Ainsi, outre le travail sur le BL pour véhiculer divers messages, il permet surtout de pouvoir analyser le BL d’autrui. Repérer des indicateurs d’intérêts (Notion de similitude…), de désintérêt, ou simplement de position sociale au sein d’un groupe (Leadership…).

Dernier point : Il faut adopter une attitude « RELAX ». Elle véhicule le bon message, votre bonne humeur.

II – Look

Dans cette partie du module, on s’attaque de nouveau à l’apparence. Après le langage corporel : le Look. Alexandre ne va ici, pas nous montrer comment s’habiller, mais plutôt comment NE PAS s’habiller. 15 erreurs à retenir et à ne pas commettre.

• S’habiller trop grand : 95% des hommes le font. La plupart pensent qu’ils se donnent une image « plus imposante », mais bien au contraire : on perd toutes formes, et, le pire, on amincit sont corps car on donne une impréssion de petitesse très marquée. Ainsi, préférez les vêtements à votre taille (pas moulant, mais à votre taille. )
• S’habiller « cheap » : On n’entend pas dépenser des fortunes, mais prendre de la qualité. Une chemise « cheap » avec une découpe hasardeuse montrera clairement votre manque de goût à ceux qui passeront un bref coup d’œil sur votre personne. Bien évidemment, il ne faut pas vous amputer d’un bras et acheter des pièces de haute couture, mais certaines affaires se présentent assez souvent à ceux qui savent tendre l’oreille.
• S’essayer à la couleur sans maîtriser les fondamentaux : Qui n’a pas déjà croisé une image dans un magazine d’un homme portant des vêtements roses et jaunes fluo en se disant que c’était beau ? Eh bien oui, cela peut faire vraiment sympa… Sur un mannequin. Il faut vous essayer, avant de pouvoir moduler vos tenues avec de la couleur, aux tons « pastels » (blanc, gris, noir ou bleu nuit). Des couleurs qui s’accordent tous ensembles. Par exemple, le gris est un basique, on peut porter plusieurs teintes de gris sans soucis.
• Oublier les circonstances : Imaginez-vous avec votre plus beau pantalon en toile, une chemise légère découpée à merveille. Et tout ça : en hiver. C’est ça, ne pas faire attention aux circonstances. C’est un point à respecter, le costume trois pièces pour une boîte n’est pas recommandé, ça ne « catch » pas !
• Les chaussures : Ce vêtement est clairement un pillier, au même titre que le pantalon ou le t-shirt. Il affirme le look, il ne faut SURTOUT pas le négliger. Alexandre nous livre plusieurs conseils, faire attention aux pièces qu’on choisit et surtout, en prendre soin ! (Utilisation de « forme », de « cirage » ou de « lait pour chaussure ». )
• Trop d’accessoires : Quand on rentre dans le monde de la séduction, il arrive que beaucoup préconisent d’avoir beaucoup d’accessoires pour en parler, pour attirer. C’est un malheureux cliché, celui du player « too much ». Il faut tout d’abord apprendre et apprivoiser les classiques pour ensuite tendre vers la touche personnelle, et donc, les accessoires.
• Le chapeau : Alexandre sera rapide sur ce sujet. Le chapeau est très difficile à porter, c’est totalement stéréotypé. Très peu de gens arrivent à garder une allure intéressante avec cet accessoire. Oui, il y a des « têtes à chapeau » et elles sont rares !
• Le tatouage : Ici c’est non, non et non. Du moins, dans certaines circonstances. Un tatouage qui a une signification personnelle, qui est réfléchi, abouti… OUI. Mais pour se faire un tribal sur l’épaule histoire de suivre l’effet de mode et regretter à 40 ans, non. Ça finit par être impersonnel et peu esthétique.
• Le gel : Revenons sur Terre à présent. Une fille a-t-elle vraiment envie de passer sa main dans des cheveux pleins de gel ? La réponse est non. La matière est désagréable, l’odeur parfois superfétatoire, bref, rien d’attirant. Privilégiez la cire, ou la pâte pour modeler vos cheveux.
• Acheter sur internet : La règle primaire est qu’un vêtement s’essaye, pour commencer. Même un simple t-shirt sur lequel on a flashé, peut-être qu’il n’est pas taillé pour notre morphologie. Ainsi, on préférera l’achat en boutique que sur Internet. Rajoutez à ça que chaque marque à ses tailles, on ne peut donc pas être à 100% sûr de ce que l’on prend sur ce sujet. Et enfin, attention aux fakes. Ils sont multiples sur la toile.
• Ne pas prendre soin de ses vêtements : Je ne pense pas que ce point mérite vraiment d’être appuyé. Acheter pour gaspiller, c’est triste. Prenez-soin de vos vêtements (bien suivre les instructions pour le nettoyage ou ne pas utiliser ses chaussures préférées en boîte, par exemple. )
• Se faire habiller par une femme/un vendeur : Votre meilleure amie, votre cousine, votre sœur, votre mère… C’est réducteur mais elles ne connaissent rien en mode masculine, pour commencer (sauf exceptions). De surcroît, elles vous habilleront comme si vous étiez leur fils/frère/père. Il n’y aura pas ce côté sexy, du fait de leur conditionnement sur ce sujet. Au sujet du vendeur : il est là pour vendre, et de cette raison, ses conseils sont faussés.
• Oublier les conseils avisés : Un connaisseur dans la mode qui vous aide n’est pas un ennemi. Ravalez votre égo, vous ne savez pas aussi bien vous habiller que vous le pensez… Très bien, pas de soucis, la mode s’apprend !
• Avoir une garde-robe peu équilibrée : Cette erreur se résume elle aussi par elle-même. Essayez de garder une cohérence dans votre garde-robe, n’hésitez surtout pas à tester des pièces que vous appréhendez de manière à en avoir assez comparés aux autres ! Il faut vraiment avoir un nombre raisonnable de chaque vêtement.
• Négliger les détails : « Les détails font la perfection et la perfection n’est pas un détail. » En une phrase, Alexandre résume l’ensemble de l’erreur à ne surtout pas commettre en matière de look. Chaque détail est très important et crée votre personnalité, votre image.

Pour ceux qui veulent développer le question du look je vous renvois à mon article Ebook look vs Bonne Gueule Book.

III – Communication

Dans cette partie du module, nous avons la chance de recevoir Béranger, coach en séduction de Lyon, chroniqueur et accompagnateur d’orthophonistes. Un homme avec un langage corporel et une fluidité vocale des plus travaillées aux premiers abords. Et pourtant, il nous apprend très rapidement qu’il est en fait un ancien bègue très appuyé. Après près de 10 ans d’orthophonie son begayement est presque totalement éteint. Il nous exprime le fait que c’est une vraie démarche personnelle de vouloir contrôler sa voix dans toutes les situations.

Mais qu’est-ce que le mécanisme de la voix ?

• Une source d’air provenant des poumons et régulée par le diaphragme.
• Une structure vibrante, les cordes vocales.
• Un ensemble de caisses de résonnance : nez, cage thoracique, bouche.

Gardons en tête que la voix est muscle, et comme tout muscle, il peut se travailler de manière prononcée. Chaque élément de ce mécanisme peut influer sur différents paramètres de la voix. Par exemple, le diaphragme joue sur l’intensité sonore de votre voix. La vibration de vos cordes vocales sur la hauteur de cette même voix. Et, enfin, l’ouverture ou non du palais fait différer votre timbre de voix.

Nous arrivons donc à la partie qui nous intéresse amplement pour la communication et la séduction. Les émotions influent sur votre parole, et cette même parole influe sur vos émotions et celles de vos auditeurs. Béranger nous force à nous questionner sur les différents moments où nos émotions peuvent altérer nos muscles. Par exemple, en période de stresse appuyé, nous tremblons. Lorsque nous ressentons du sur-excitement, de l’adrénaline, nous ne sentons pas la douleur. Ainsi, et encore une fois parce que la voix est un muscle, nos différents états émotionnels donnent le jour à différentes voix. Pour exemple arrêté : lorsque nous sommes détendus et calme, notre voix est harmonieuse et plus grave.

Maintenant, inversons cette propriété : grâce à notre voix, nous pouvons influencer nos émotions et celles des autres. Prenons l’exemple des grands orateurs qui motivent et bougent les masses.

Je me permettrais de citer ici un grand homme que j’estime fortement et qui arrive toujours à me motiver lorsque je l’écoute et le réécoute : Eric Thomas. Son « speech » à propos de la motivation et de l’envie d’obtenir quelque chose, « How bad do you want it ? », me donne (et je ne suis pas une exception) de fortes émotions. Et tout cela de quelle manière ? Par la simple utilisation de sa voix.

Béranger nous parle de certaines statistiques qui montrent que, lors d’une expression orale, nous gardons un contact visuel 60% du temps et nous détournons le regard 40% du temps. Alors que lors d’une écoute active, nous regardons la personne ayant la parole 80% du temps pendant que nous tournons le regard seulement 20% du temps. L’idée ici est de montrer qu’il faut garder un certain contact visuel lors de l’expression, de manière à offrir une certaine part de franchise à notre auditoire.

Les émotions sont contagieuses, une fois de plus, sentez-vous confiants, vous donnerez confiance.

Prenons à présent cette génération d’émotion, une fois maîtrisée : c’est exactement ce que nous voulons en séduction. Le but n’est pas de faire rire une femme pendant une heure, comme le dit si bien Béranger, mais bel et bien de la faire rire ET de lui faire éprouver toute une palette d’émotion pendant une heure. Pour ça, il faut utiliser tous nos moyens de communication, nous avons vu le langage corporel (55%), plus haut. Sur cette présentation, nous allons parler du verbal (7%) et du « para-verbal » (38%). (Roue de Mehrabian)

Mais qu’est-ce que le « para-verbal » ?

C’est l’ensemble des paramètres de la voix : Diction, intonations et débit. Ces paramètres sont tous trois définis par différents points.

La diction, c’est notre manière d’articuler. Elle nous permet d’être audibles et compréhensibles. Mais, au contraire, une diction mal gérée crée l’incompréhension dans nos propos et peut nous freiner dans un échange et une prise de parole. Pour éviter ce genre d’accrocs, il faut bien penser à ar-ti-cu-ler !

Les intonations, c’est l’ensemble de nos variations de tessiture et d’amplitude. Elles donnent naissance à nos intentions, ce qu’on cherche à communiquer, par le simple biais d’accentuer les propos tenus. Grâce aux intonations, nous pouvons donner de l’énergie, de la vie et de la couleur à nos discours. Par exemple, essayer d’écouter quelqu’un qui ne les utilisent pas, qui reste monocorde, est des plus ennuyants.

Enfin, le débit, c’est notre rythme de voix et nos variations de vitesse. Il accentue le sens, il dynamise la conversation au maximum et impose notre état d’esprit. Quelqu’un qui parle trop vite, qui ne gère pas son débit, transmettra en filigrane une impression de non-contrôle de lui-même. Ainsi, il ne faut pas hésiter à se permettre de jouer sur certains blancs, de montrer son aisance.

Béranger nous explique ensuite, qu’essayer de gérer ces quelques paramètres nous semblera très peu naturel au début. Mais qu’à force de pratique, nous finirons par internaliser chacun de ces points. « Rendre conscient, l’inconscient puis inconscient le conscient. »

Pour exprimer cette phrase, on utilisera l’analogie suivante : le fait de marcher est devenu inconscient pour l’ensemble. En revanche, suite à un accident et une perte de cette fonction, on peut être amené à une rééducation. La base de cette rééducation est de prendre conscience du mouvement qu’est la marche, de réapprendre à correctement réaliser cette fonction pour ensuite, la conditionner, l’internaliser et la rendre inconsciente.

Comme explicité plus haut, cette communication para-verbale a une place plus importante dans notre communication globale que celle des mots. Ainsi, une mauvaise utilisation de cet élément peut véhiculer un message qui n’est pas le nôtre. Manque de confiance, gêne… Le conditionnement de la société répond justement à certains préjugés bien marqués.

Béranger, vu que très touché personnellement par ce sujet, nous met en évidence un amalgame qui est fortement répandu, notamment dans le milieu scolaire : un enfant bègue sera rapidement rattaché à un enfant « attardé ». Son expression n’est pas claire et ordonnée, de ce fait, ses idées et ses pensées auront la même image : incompréhensibles, peu recherchées et mal ordonnées.

Bien entendu, ce n’est pas le seul préjugé que l’on peut croiser. Il existe trois paramètres, comme vu plus haut, dans le para-verbal, Béranger nous expose les quelques préjugés rattachés à ces trois paramètres mal utilisés.

Une mauvaise diction entrainera l’image de quelqu’un de :

• Brouillon
• Désordonné
• Peu éduqué
• Peu intelligent.

Une intonation mal menée ou inexistante donnera l’impression de quelqu’un de :

• Ennuyant
• Plat
• Très peu « fun ».

Un débit trop rapide :

• Surexcité
• Manquant de gestion.

Un débit trop lent :

• Pas envie de l’écouter
• Lent dans sa façon de penser.

Bref, vous l’aurez compris, il faut savoir maîtriser chaque élément. Jonglez bien sur chaque paramètre pour faire passer les bons messages. Pas d’excès, pas d’oublis !

Ainsi, grâce à ces différents paramètres correctement maîtrisés, on peut faire appel à un pilier très utile dans la communication, la séduction. Le DHV, (Demonstrate High Values), en français « Démontrer sa valeur ».

Cette valeur se reflète beaucoup sur un point « général » :

le Charisme. Faire preuve de charisme, c’est avoir un sens du leadership, une pointe de dominance, de calme, d’intelligence sociale. Vous l’aurez compris, un bon nombre de qualités. Ces qualités s’expriment justement via la parole (en partie). Par exemple, le « Story telling » s’effectue avec cette parole.

Par la suite, Béranger nous brief rapidement sur le « verbal ». On l’a dit et redit, les mots ne font que 7% de notre message. Mais pourquoi se priver de 7% ?

La richesse du vocabulaire est donc un grand pilier de ce « verbal ». Il véhicule l’image d’un homme ayant une certaine classe, une culture recherchée et une éducation bien menée. Un « beau parleur », un « tchatcheur », c’est transmettre l’idée que vous avez une bonne position sociale, un bon revenu, bref : une situation agréable.

Bien évidemment, il ne s’agit pas d’utiliser des mots très recherchés à chaque phrase avec une fille étant dans des études d’esthéticienne, il faut savoir s’adapter, ne pas écraser son partenaire, avoir un échange « sain ».

Mais concrètement, qu’est-ce que la « tchatche » ? C’est mettre le cerveau de votre « cible » en « surcapacité ». Réducteur à dire dans un premier lieu, mais l’idée est simple. Lui apporter un flux constant d’informations (Story telling and cie) via le verbal et le para-verbal de manière à avoir accès à son inconscient, faire appel à une sorte « d’hypnose ». Le fait d’utiliser le toucher (kino) en même temps rend la démarche de progression naturelle et complète. Ainsi, vous pourrez faire avancer votre relation rapidement.

Encore une fois, ces points se travaillent. Ce n’est pas de l’inné mais de l’acquis. Pour chaque point, il existe des solutions à leur entraînement.

• Le timbre : on peut chercher à avoir une voix plus grave. Ce n’est qu’une question d’habitude, forcez-vous à parler un léger ton plus bas (sans que ça paraisse étrange vis-à-vis de vos proches) pendant un moment, et ça s’internalisera tout seul. (Voir les 21 jours pour assimiler une habitude que l’on a pu rencontrer par le passé dans la chronique de « Objectif Lune » )
• L’intensité : c’est un simple travaille musculaire. C’est le diaphragme qui rentre ici en jeu, et encore une fois, il existe bon nombre d’exercices concrets pour le travailler. (Par exemple : méthode de musculation du diaphragme par Olivier Lafay. )
• L’intonation et le débit : ces deux-là viennent de la motivation particulièrement. C’est à votre bon vouloir. Il faut d’abord se forcer à donner du dynamisme et de la vie dans nos récits et nos prises de paroles de manières à pouvoir intégrer ce rôle de « conteur ».
• La diction : c’est un « simple » travail d’articulation qu’il faut entreprendre. Prenez l’exercice des vires-langue ou du stylo.
• La richesse du vocabulaire : ce dernier point passe par la curiosité, par un travail de développement et d’information personnel. Échangez avec des gens cultivés, ou que vous jugez cultivés. Lisez des livres multiples sur différents sujets (Philosophie, épanouissement personnel…).

Pour finir, Béranger nous cite quelques mauvaises habitudes à oublier et à éliminer :

• Les tics du langage : qui n’a jamais rencontré quelqu’un qui ajoute des « t’as vu » à tout bout de champs ? Bannissez ces tics ennuyants et ennuyeux. « Euuuh », « ok », « voilà » et « hummm » en tout genre. Cela rend votre discours rébarbatif et peu intéressant !
• Le bégaiement, bafouillage, bredouillement : ils traduisent un inconfort et une nervosité marqués. Le travail orthophoniste est la solution à ces troubles de la communication verbale.
• Parler faiblement : encore une fois, qui n’a jamais eu l’impression de n’avoir personne en face de lui car son interlocuteur avait un volume sonore proche du zéro ? Il faut se forcer à parler fort, vous êtes quelqu’un, une personnalité, et vous ne demandez qu’à vous exprimer !
• Tirer la tête : c’est simple, pas de secret, il faut SOURIRE.
• Ne pas articuler : le sujet a souvent été traité plus haut. Faites-vous comprendre en ayant une articulation digne de ce nom.

Si vous voulez travailler votre voix je vous voici mon article sur la formation de Lorenzo Pancino maxxivoice.

Module 2

I – L’état d’esprit séduisant

Dans cette première partie du Module 2, l’idée est de définir l’état d’esprit du séducteur, l’état d’esprit qui nous confère une certaine aura.

Alexandre commence tout d’abord par nous expliquer qu’il ne faut surtout pas faire l’amalgame avec le « dragueur en série ». Le séducteur et son état d’esprit sont des choses attirantes, enrichissantes. Il faut véhiculer un certain message de quelqu’un d’épanouis. Le but est de trouver quelqu’un avec qui

Il existe beaucoup de points concrets pour atteindre cet état d’esprit :

• Pratiquer en quantité : Il faut tout d’abord prendre l’habitude, travailler dans le quantitatif de manière à trouver un certain schéma, une certaine mécanique qui nous conforte. Par la suite, on pourra peaufiner cette mécanique pour passer dans le qualitatif. Se prendre des râteaux pour pouvoir les dédramatiser et rebondir par la suite.
• Passer au qualitatif : une fois la quantité abordée, il va falloir passer à la qualité, comme vu dans le point précédent. Pour ce faire, il ne faut pas oublier de se sociabiliser, de se détacher de cette image, une fois de plus, de dragueur en série. Il faut donner une image différente des autres, notamment avec le « trap opener », différentiation, humour, accepter votre démarche.
• Les bonnes croyances : le but n’est pas de se raisonner sur des choses totalement fausses via la méthode Coué et l’auto-persuasion, mais de se trouver ses propres qualités et de les appliquer. Tous les jours, vous pouvez influencer le cours de votre vie, chaque interaction permet de changer notre vie, pourquoi s’en priver alors ? Il faut concrètement cerner le bon état d’esprit, par exemple, Alexandre démonte ici « The Game » de Neil Strauss, en expliquant qu’en France, la femme est sur le même piédestal que nous. Comprendre que la séduction est simple si on maîtrise tous les détails.
• L’état d’esprit dans sa pratique : un point important ici, être proactif, être mieux que réactif, prendre des décisions. Il faut s’adapter, sans oublier de s’amuser, bien évidemment. Tout en gardant cette optique, il nous faut rester dans une optique décontractée et relax.
• Partager ses expériences : ce point est simple de compréhension. Nous avons tous nos expériences personnelles, pourquoi se priver de les partager pour éviter aux autres de faire la même erreur, et pourquoi ne pas trouver des coups de pouces des expériences d’autrui ?
• Psychanalyse et coaching (Différences) : la psychanalyse est clairement basée sur la compréhension du passé pour vivre « en paix », dirons-nous. En revanche, le coaching se base sur l’élaboration positive du futur.
• Rien ne se maîtrise, tout s’optimise : ce point pour lui-même. On peut faire au mieux, mais pas à 100%.
• Ce qui fait gagner des points dans l’interaction :
  • S’amuser > En boîte, dans un bar, vous êtes tout d’abord là pour vous amuser, pas pour « chasser » bêtement.
  • Écouter l’autre mais non au dépend de l’autre > Chercher à comprendre son interlocuteur, il faut prendre le temps d’écouter. Ne pas penser tout le temps à ce que l’on veut dire.
  • Savoir dire non > Ce n’est pas parce qu’elle est blonde avec un beau décolleté et de belles lèvres qu’il faut se laisser mener à la baguette. Il ne faut pas se laisser écraser, vous êtes une personne à part entière.
  • Faire savoir, plutôt que de dire directement > Le mieux est de faire passer le message par le non-verbal que de le dire clairement.
  • Respect de l’autre > Respectez-vous mais respectez surtout l’autre.
  • Une main de fer dans un gant de velours > Vous avez des buts, trouvez la manière de faire à présent.
  • « Dois-je l’aborder » ? >Bien entendu, O-U-I !
  • « Les regrets durent toute la vie, la peur qu’un instant »
  • La règle du NEXT > Il faut savoir accepter une erreur et une défaite que de perdre du temps pour rien. Il existe tellement de femmes que ça ne sert à rien d’essayer en vain. Passez directement à autre chose si vous vous prenez plusieurs gros murs d’une seule « cible »
  • Rencontrer des hommes > Ils sont là pour vous aider, faites-vous en des amis de manière à ne pas passer pour « la bête noire ». Parfois, ils pourront même vous aider à rencontrer votre cible. Il faut, de toutes manières, toujours s’intéresser aux gens en général, femmes comme hommes.
  • Exception du rapport stratégique > Éthique mise à part, vous pouvez vous intéresser à quelqu’un (un homme) de manière à accéder à votre cible sans forcément trouver cette personne intéressante. C’est la règle du rapport stratégique.
  • Parler des gens > Qui n’aime pas que l’on s’intéresse à lui ? C’est donc le sujet « magique ». Faites parlez vos interlocuteurs sur leur personne.
  • Observer les autres > Vous pouvez clairement tirer pleins d’informations grâce à l’observation, voir ce qui fonctionne avec une fille, par exemple. Prenez exemple plutôt que de jalouser autrui.
  • Rester maître de l’interaction > Prenez chaque initiative, envie d’embrasser une fille ? Allez-y. Récupérer son numéro ? Allez-y. Assumez pleinement votre virilité, le cliché du « Di Caprio lover » est bien trop présent aujourd’hui.

• Ce qui fait perdre des points dans l’interaction :
  • Faire des reproches > Si une fille ne donne pas suite, vous met un lapin ou ne répond pas au téléphone, ce n’est pas sa faute, mais à des éléments extérieurs qui vous échappent.
  • Argumenter > Oublier l’argumentation, c’est une erreur concrète. Donner raison à une fille n’est pas la séduire, imposez-vous. Vous pouvez changer vos émotions, pas vos croyances.
  • Être indécis > A l’inverse de la proactivité, ne pas savoir ce qu’on veut est peut-être un des points les plus négatifs que l’on peut trouver chez un homme.
  • Être suppliant > Ne mendiez jamais pour de l’affection, vous perdrez TOUTE crédibilité.
  • « J’ai raté, c’est l’horreur ! » > Le râteau n’existe pas, c’est simplement la manière qui n’était pas la bonne.
  • Pas de fixette > Pourquoi s’accrocher à une fille et perdre du temps si cette fille n’en vaut pas la peine ?.

II – Les 5 clichés sur les relations hommes/femmes

Malheureusement, les clichés sont présents et bien ancrés dans notre société actuelle. Alexandre, va donc nous énumérer ici les différents préjugés sur les relations :

• Être doux, gentil, compréhensif pour séduire : le syndrome du Nice Guy. Nous ne sommes pas dans un monde tout beau, tout rose. Ce cliché est issu des différents films à l’eau de rose. Bien entendu, il ne faut ne pas être gentil du tout ou bien même doux. Il faut savoir imposer sa virilité.
• Les femmes qui veulent des histoires sont des salopes : oui, il existe des femmes qui cherchent des relations courtes et répétées. Ne pensez surtout pas que ce sont des salopes, ne placez pas les femmes comme des victimes ou des objets. Elles savent ce qu’elles veulent et ont autant de légitimité que les hommes de vouloir faire des rencontres.
• Les séducteurs sont des salauds : c’est d’abord penser que la femme est bête. Une femme ne se laisse pas avoir comme ça, concrètement. Il y a deux visions, le séducteur et l’homme séduisant. Ce qu’Alexandre nous explique c’est qu’il veut nous rendre séduisant. Dans notre épanouissement, nous avons cette palette d’homme séduisant.
• Les femmes n’aiment pas être abordées : l’abordage dans la rue est souvent tabous. Pourtant, quoi de plus naturel ? En bar, dans une boîte, les filles subissent la pression sociale. Il n’est pas rare qu’une interaction s’écourte car une amie de la fille que vous venez d’aborder est entrain de la surveiller. Aborder c’est avant tout faire une rencontre.
• Séduire ça ne s’apprend pas : ce n’est pas inné, mais bien acquis. Oui, l’envie d’apprendre un sujet ou un autre peut être innée, mais la séduction s’apprend. C’est une suite de petits détails plus ou moins faciles à mettre en œuvre. Alexandre rappuye le fait qu’il est là pour nous l’apprendre, pour nous aider à devenir cet homme séduisant.

III – Les 10 règles des wingmen

On assiste dans cette partie à un « melting-pot » de plusieurs briefs sur ce qu’est un wingman (partenaire de séduction) et comment gérer cet allié. Alexandre et ses propres wingmen nous énumèrent les « dix commandements » du véritable wingman :

• Pas de boycotte : à partir du moment où un des wingmen prend l’initiative d’aborder un groupe de fille, l’autre se DOIT de le suivre. C’est ça le fait de ne pas boycotter. Le fait d’avoir une confiance absolue en son partenaire fait aussi partit de ce point. Si l’un de vous décide quelque chose, écoutez-le et assumez son choix.
• Ne parlez pas de drague en public : l’idée est simple non ? Parler de drague en public, c’est se « griller » en une seconde. Pour pouvoir communiquer sur différents points de la drague, de la séduction, vous pouvez instaurer certains noms de code, pour demander à votre wing de bouger, ou bien de numclose rapidement. Bref, soyez imaginatifs pour pouvoir communiquer sans vous faire remarquer.
• Débrifez souvent (au calme) : Le debrief est le maître mot des wingmen. Il arrive souvent que nous ne voyons pas nos propres défauts, et pourtant, ils sont bel et bien présents. Ainsi, vous pouvez remarquer le défaut d’un wing (débit trop rapide ?) il vous suffit de lui faire la remarque. Par contre, attendez TOUJOURS d’être au calme, pour véhiculer le bon message et vous faire correctement comprendre (tout en évitant de se faire « griller » par la foule, bien entendu).
• Ne pas s’inviter sans l’être : « Celui qui aborde le groupe en a la responsabilité », il est clair et net que vous ne pouvez pas vous inviter dans un cercle fraichement abordé sans l’autorisation préalable du wing qui a fait le premier pas. Attendez son signal (soyez inventifs, une fois de plus) pour vous faire inviter ou vous inviter. De surcroît, si celui qui a abordé décide de partir du cercle, acceptez son choix, c’est son cercle, sa responsabilité. Encore une fois, la confiance doit être absolue.
• Avoir la même trame : et ce même si vous ne vous connaissez pas depuis longtemps. Vous êtes wing, soyez sur la même longueur d’onde, sonnez pareil, ayez la même histoire. Si les histoires diffèrent de l’un à l’autre, les filles sentiront le poteau rose et passeront très rapidement à autre chose. Vous vous devez donc de vous mettre d’accord sur les différents points qui vous concernent (Pourquoi vous êtes ici, comment vous vous êtes connus…).
• Soyez patients : même en période de creux. Il peut arriver que vous n’abordiez pas de cercles pendant une heure, que votre wing met du temps à passer dans la zone de confort de sa cible pendant que vous occupiez les amis de cette dîtes cible. Gardez votre calme et votre sang froid, vous vous devez de mettre toutes les chances dans votre wingman !
• Pas de jalousie mutuelle : c’est une perte de temps et de confiance. Il peut arriver qu’un de vos wing aille plus vite que votre propre personne à développer ses capacités de séduction. Ce n’est pas rare, même. On avance tous à notre propre vitesse, et c’est ça qui est enrichissant. Ainsi, ne jalousez personne parce qu’il réussit mieux que vous, prenez exemple, encore une fois. Si un wing réussit un close difficile alors que vous vous êtes pris un mur, acceptez-le simplement.
• Toujours de bonne humeur : pour le moral des troupes. Vous êtes un groupe d’ami fortement soudé. Si une maille tire vers le bas, le groupe ralentit. Vous vous devez de toujours avoir la bonne humeur, de toujours être avenant et prêt à passer à l’action. Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour vos wingmen, au moins. C’est une simple question de respect.
• Pas de comportement haineux/victorieux en présence des filles : ce point rejoint le commandement numéro 2. Crier victoire devant une fille, ou à quelques mètres après avoir pris son numéro montrera clairement vos intentions, et même si vous venez de passer 2 heures à échanger avec cette fille. Rien de mieux pour se griller, vis-à-vis de cette fille ou de tout autre spectateur de la chose.
• Le wingman est la priorité : dans toutes les situations. Avant de chercher à vous DHV, faites-le pour votre wing. Ça vous évite l’image du vantard, et ça apporte un vrai plus dans la cohésion du groupe. Aujourd’hui, comme Alexandre le remonte, beaucoup trop de gens, lorsqu’il s’agit de séduction, s’enfoncent des couteaux dans le dos. Pourquoi ? C’est se freiner et freiner ses amis. En tant que wingman, on se doit d’être solidaire. C’est aussi pourquoi, il faut savoir ravaler son égo dans certaines situations. Si vous voyez que vos chances se réduisent à l’ordre du zéro avec une cible, essayez de la guider vers votre partenaire. Le but est de faire des rencontres, si vous n’arrivez pas à atteindre cet objectif pour vous-même, aidez votre wing à le faire pour lui.

Que faut-il attendre de la suite de cette formation ?

De manière à vous laisser le plaisir de découvrir la mine d’or de savoir qui se cache derrière la fin de cette formation, je vais arrêter ma chronique sur le dernier point que j’ai présenté. En revanche, voici le titre de chaque partie qui va suivre et mon impression en une courte phrase sur ce que l’on peut trouver.

Module 2 (suite)

• Aborder une femme avec succès : Les premiers pas en matière d’abordage. Comment s’arrêter, se positionner, que dire, que faire. Bref, comment bien lancer une interaction de façon naturelle.
• Comment répondre aux objections : Les différentes situations qui nous montent face à un « mur », du refus lors de l’abordage aux résistances multiple avant le sexe.
• Caméra cachée abordage + feedback : Mise en action et en forme des savoirs que l’on vient de découvrir dans ce module accompagné du feedback adéquat (en LIVE). Interaction vraiment intéressante puisque prenant place entre un élève sur le field et un groupe d’étrangères. Bénéfique pour les gens réceptifs à la langue de Shakespeare.
• Rappeler une femme pour la revoir : Comment rappeler une fille que l’on a rencontrée dans la rue.
• Caméra cachée rappel + feedback : Ici, Vincent nous montre l’exemple concret de comment rappeler une fille et décrocher un date. Bien mené, bien débriefé par la suite. Du bonheur.

Module 3

Ce module est essentiellement composé de 5 caméras cachées de (plus ou moins) courtes interactions entre différents élèves et une cible abordée dans la rue. Ces interactions sont suivies de leur 5 feedbacks respectifs, décrivant et décortiquant chaque point de l’échange, bons comme moins bons.

Module 4

• Comment réussir un rendez-vous amoureux : Les éléments importants qui nous permettront de mener les choses avec brio lors d’une date.
• Rentrer accompagné : On verra ici comment arriver à une finalité bien précise : ramener votre cible à la maison le soir même.
• Sexualisation verbale : Les tournures de phrases, le directe, le moins directe. Comment instaurer une certaine tension sexuelle grâce au support des mots et de la voix.
• Sexualisation physique : Instaurer une tension sexuelle concrète et palpable. Le toucher, a. k. a. kino. Comment bien escalader ces différents touchers physiques tout au long de vos rapports avec votre cible.

Bonus

• Le guide « Séduire Naturellement » : Ce point ira vite, c’est simplement un must-have.
• Séminaire « S’il ne fallait retenir que 10 conseils pour séduire » : Un séminaire complet qui remettra en mémoire quasiment chaque information que l’on aura rencontré tout au long de la formation.
• Séminaire « Savoir vivre » : Comment devenir un homme accompli et épanoui (communication, look, séduction, social…).
• Caméra cachée de Vincent : Une mise en situation très instructive de Vincent, second pilier de la formation et coach de LifeStyle-Conseil.
• Le parcours de Vincent
• Question/Réponses avec Alexandre et Vincent : Questions fréquentes, réponses complètes.
• Conférence « Aborder avec succès » : Retour sur l’abordage, ses faces cachées, comment bien le mener.
• Conférence « Se motiver pour réussir » : Ne jamais perdre le cap, toujours viser plus haut et s’accomplir sans jamais s’arrêter. Les ficelles de la motivation.

Conclusion par Slak de : Les ressources du changement

La séduction n’est pas un jeu pour l’homme mature et accomplis, c’est une façon d’être, voire de vivre. En toute franchise, « L’homme séduisant » serait une très bonne alternative, en termes d’intitulé, à cette superbe formation. C’est donc sur ce point distinct que « Séduire naturellement » sort concrètement du commun.

En effet, un des points essentiel de cette formation sera celui de la nuance effectuée entre la communauté de séduction dîtes « player », où chaque séducteur n’est en fait qu’un simple joueur qui répond à des noms de codes et des interactions programmées et mesurées (Communauté calquée sur celle des États-Unis), et l’attraction que peut provoquer un homme « séduisant ».

Ici, la séduction est présentée comme une chose qui se doit d’être naturelle, sans « nom de code », sans « impératifs » ou « dénigrement » de la femme. C’est un point qui se doit d’être accompli à la suite d’un réel travail personnel. Un travail sur le langage et la communication (Verbal, para-verbal et non-verbal), un travail sur le look (Les erreurs à ne pas faire…) et un travail sur sa confiance et son aisance.

Le premier point positif que j’aimerais vraiment expliciter est la clarté de tous les propos tenus, qu’ils soient dictés par Vincent, Alexandre, Béranger ou tout autre coach et intervenant, chaque point est correctement exprimé. On ressent vraiment le côté pédagogique dans toutes les interventions.

Le second point positif sera au sujet du découlement de la formation. Le fait même de vouloir « contrôler » l’afflux d’informations au fil des mois est des plus bénéfiques. En effet, un homme avide de savoir se retrouvant avec tous les modules dans les mains serait grandement tenté par le visionnage un peu hasardeux et désordonné des différents cours présents. Ici, le choix nous est imposer, travailler chaque point un par un.

Enfin, cette formation a le mérite de ne pas seulement apprendre à séduire des femmes, mais à enclencher un véritable changement en tant que personne, une envie de progression, d’hygiène de vie et d’objectifs multiples. Instaurer des dynamiques sociales, élargir son cercle d’ami, s’épanouir dans le travail, la mode, le sport. En un mot, « Séduire naturellement » permettra de « bouleverser votre vie et votre quotidien » si pris et suivi de manière sérieuse.

Cependant, petit point que j’avais envie d’expliciter, même si il n’est pas un défaut concret mais plus une constatation : Étant moi-même un « joueur », ou du moins, voyant la séduction comme un jeu, je trouve que la dynamique de séduction ici présentée repose beaucoup sur le « Lifestyle » (Quoi de plus normal venant de LifeStyle-Conseil, me direz-vous ?). Ainsi, la séduction sera bien plus fluide et facile en milieu de journée (abordant dans une rue, par exemple), qu’avec une méthode « Américaine ».

En revanche, la dynamique à adopter en soirée (Boîte, bar dansant…) sera légèrement différente, bien que similaire, du fait que les paramètres diffèrent réellement. Mais j’arrive tout de même, et facilement, à suivre et comprendre le point de vue emprunté ici. Soulignons surtout le fait que mon « Daygame » aura été concrètement boosté et amélioré par cette formation. Je remercie donc en toute sincérité Alexandre, Vincent et les autres intervenants de nous permettre d’accéder à un échelon supérieur dans notre développement personnel.

Bref, et vous l’aurez facilement compris, « Séduire naturellement » a clairement été un plaisir à regarder, à analyser et à chroniquer. Un certain dynamisme et une dispersion des tâches et du contenu très intelligente qui se doivent d’être re-soulignés de manière appuyée. Ainsi, cette formation vous aidera CONCRETEMENT à devenir l’homme épanouis que vous rêvez d’être, et ceci, en seulement 4 mois de travail correctement réparti. N’hésitez plus et foncez, devenez séduisant.

Points forts

• Complet à souhait (Séduction, communication, look…) ;
• Accompagne sur chaque point/module et de façon pertinente ;
• Présenté par des coachs ayant une réelle légitimité ;
• Peu de formation sur ce format et de cette qualité dans le domaine.

Points faibles

• Décrit une séduction « de jour » ;
• Donne vraiment l’envie de participer à une semaine en Villa avec les coachs.